Publié par pip Editors Berlin | 08.06.2022
Dentiste Michael Weiland : j’estime que de bons soins sont essentiels !
En l’absence de main d’œuvre qualifiée et de personnel essentiel, les services, qui semblaient auparavant essentiels, sont la première chose qui vient à manquer. Mais plus un élément matériel est interchangeable et plus on désire éviter la guerre des réductions, plus une entreprise se démarque auprès du client avec le peu d’aide gratuite.
Entretien avec le dentiste Michael Weiland et de son équipe
pip: Comment a eu lieu votre premier contact avec le fabricant d’implants C-Tech et M. Lütfü Agic ?
Michael Weiland:Je connaissais M. Agic depuis longtemps, plus de dix ans en fait, depuis que j’exerce. J’ai ouvert mon cabinet il y a quatre ans mais j’ai été surtout occupé à le mettre sur pied. Entretemps, il s’est passé beaucoup de choses dans notre famille – comme c’est souvent le cas tout arrive en même temps. C’est la raison pour laquelle je ne me suis pas occupé tout de suite d’implantologie, en n’offrant que des prothèses pour commencer. Néanmoins, je n’avais pas perdu le contact avec M. Agic, surtout parce que je continuais à avoir le même intérêt primordial. Puis M. Agic attira mon attention sur une formation supplémentaire, dans le dispensaire clinique municipal local avec le professeur Anton Dunsche.
pip: Qu’est-ce qui est le plus important pour vous lors d’une formation ?
Michael Weiland: Tout le monde parle toujours de “rentrer chez soi avec des messages” et c’est en fait ce qui compte. J’aimerais apprendre quelque chose que je peut utiliser dans mon cabinet à très court terme. Outre la théorie, que l’on peut lire et acquérir au cours d’évènements en-ligne, il est important selon moi d’avoir l’opportunité d’essayer et pratiquer les techniques par soi-même, si possible avec quelque qui à ses côtés, qui peut immédiatement donner un ou deux conseils et montrer quelques trucs et astuces. Il s’agit donc d’obtenir davantage de confiance en moi dans mon cabinet- Le premier cours avec le professeur Dunsche était parfaitement bien organisé, nous avons appris la théorie mais fait aussi beaucoup d’exercices pratiques sur la mâchoire de porc et en ayant par la suite l’opportunité d’assister le professeur Dunsche pendant des interventions.
pip: Donc cela ne s’arrête pas à cet évènement ?
Michael Weiland: Non, j’ai eu par la suite l’opportunité de suivre un cours de quatre jours à Palerme, en Italie. Là-bas ils procèdent de façon légèrement différente, dans un cadre magnifique et un environnement très chaleureux. Tout était très bien organisé, nous avions deux interprètes à nos côtés, ce qui a évité toute sorte de problème. Pendant deux jours, nous avons découvert le système C-Tech et différentes techniques chirurgicales et nous avons pu utiliser les troisième et quatrième jours très intensément pour des exercices pratiques et des soins directement sur le patient. Deux orateurs chevronnés supervisaient cette partie de la formation et ont pris en mains des situations plus complexes, auxquelles je n’aimerais jamais me trouver confronté dans mon cabinet, mais qui étaient passionnantes à regarder. J’ai aussi appris un très grand nombre de nouvelles techniques pour mon domaine d’application et j’ai pu les mettre en pratique de façon à me sentir à l’aise en les appliquant. Je désire en effet offrir à mes patients l’implantologie de pointe actuelle.
pip: Quelle l’importance de l’aide que vous a offerte M. Agic ?
Michael Weiland: Nous avons travaillé directement avec et sur des personnes et personnellement je préfère être moi aussi considéré comme une personne. M. Agic n’a jamais fait de promesses exagérées, il est toujours disponible et a mis en œuvre mes demandes de façon extrêmement rapide, même si je les avais présentées au vol. J’ai reçu très rapidement des informations importantes et M. Agic s’est révélé un bon partenaire pour échanger des idées, sans jamais me faire sentir sous pression. J’ai souvent eu l’impression que M. Agic trouvait mon temps plus précieux que le sien et je le ressens à travers ce service remarquable.
